Nous sommes déjà locavores. Eh bien! nous serons aussi localistes tout simplement en comprenant « le pouvoir potentiel colossal » selon Ashawani Vasishth (enseignant de l’architecture durable au Ramapo College du New-Jersey) que nous détenons en tant qu’acteurs et témoins face à la mondialisation et aux multinationales, là où nous habitons, là où nous vivons et là où nos actions se déroulent. Les multinationales sont, par définition, incapables d’ètre localistes puisque leur seule et unique raison d’être est le profit. C’est un pouvoir qui appartient à l’individu conscient. Les actions localistes sont parfaitement possibles car nous pouvons et nous devons changer le monde par des réalisations et des initiatives simples mais qui modifieront en vue d’un mieux-être le milieu dans lequel nous vivons.
Un principe universel nous apprend qu’il faut faire aux autres ce que nous voulons qu’on nous fasse à nous. Être localiste en est une manifestation. Nos méthodes de fabrication artisanale des produits cosmétiques pèsent lourd dans la balance pour sauver le planète considèrant qu’avec les déchets des emballages cosmétiques on se retrouve avec des océans emplis de plastiques.
Nous en reparlerons aux cours de l’automne 2012 dont l’horaire est sous l’onglet « cours ».
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