Ça vaut le coût, Télé-Québec
NOTRE SALON DU LIVRE CVLC!
BY MARYBERLUECIE
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https://maryberluecie.com/2020/11/22/fabriquez-vos-propres-cosmetiques-avec-le-livre-cosmetiques-solides-par-sylvie-fortin/
Maman sur Mesure, le 30 septembre 2020

Le Devoir, 25 septembre 2020
Mention de Cosmétiques Solides, non toxiques, ce matin dans la chronique de Josée Banchette dans Le Devoir.https://www.ledevoir.com/opinion/chroniques/586631/les-jeunes-retraites-frugaux
La Presse +, septembre 2020
Cité Boomers, septembre 2020
http://www.citeboomers.com/cosmetiques-solides-non-toxiques/
Boucle Magazine, janvier 2018
https://www.nupharmtl.com/blogs/news/prendre-soin-de-soi-un-petit-pot-a-la-fois
Le Soleil, 14 mars 2016
On parle de la bible des cosmétiques faits maison à savoir le livre Cosmétiques NON toxiques.
Entrevue radiophonique à CKIA FM
J’ai été interviewée par madame Katia Gagnon mercredi le 13 janvier à la radio communautaire CKIA FM, de 19 h à 20 h.
Vous pouvez écouter l’entrevue d’une heure ici :
Bonne écoute !
On parle de Cosmétiques NON toxiques sur la Presse+, sous la rubrique Pause Beauté, le 18 mars 2015
Cosmétiques à faire soi-même
Fabriquer des produits de soins corporels sans composantes toxiques, c’est possible.
Marie-France Léger La Presse
Apprendre à faire ses produits cosmétiques n’a jamais été aussi populaire.
Cosmétiques non toxiques
Dans la région de Québec, Sylvie Fortin, de Cosmétiques non toxiques, offre des cours en petit groupe ou des cours particuliers portant sur le gel douche, les savons, le shampooing, les déodorants, le dentifrice, les crèmes et le maquillage.
Mme Fortin a ses propres fournisseurs. Pour l’huile de chanvre biologique, elle privilégie une huile de la Haute-Gaspésie. Mais elle varie aussi ses ingrédients, teste des recettes. « On peut broder sur les huiles, les émulsifiants, les liquides, mais je m’arrange toujours pour que les produits soient disponibles au Québec », assure Mme Fortin, qui a écrit le livre Cosmétiques non toxiques, paru aux Éditions La Presse en 2011.
Elle souligne qu’un cosmétique non toxique ne doit pas pénétrer dans la peau en profondeur. Il ne contient pas d’ingrédients qui sont des perturbateurs endocriniens. Argile verte, poudre de noyau d’olive, cire émulsifiante et pigment rose (sauf pour les lèvres) font partie de la liste des ingrédients utilisés. Elle commence aussi à se servir de conservateurs naturels.
Les dates et les thèmes des ateliers sur la fabrication artisanale sont détaillés sur le site de Cosmétiques non toxiques
CUISINER SES PRODUITS DE BEAUTÉ
« Cuisiner » ses cosmétiques maison, à partir des ingrédients du garde-manger ? Deux herboristes nous montrent que la fabrication des cosmétiques maison peut aussi s’apprivoiser… par le ventre.
Lier beauté et nourriture, une drôle d’idée ? « Pas du tout ! s’exclame Marie-Christine Vallières, herboriste-thérapeute agréée, présidente de la Guilde des herboristes, enseignante et propriétaire de l’herboristerie en ligne Les Âmes fleurs. Dans mes cours, j’apprends aux étudiants à préparer des cosmétiques à ce point naturels et sans danger… qu’on pourrait les manger. Partir du garde-manger pour en arriver à un produit de beauté, c’est tout simplement inverser le processus. »
De son côté, l’herboriste Dominique Laramée, fondatrice de Synergie Phytocosmétique à Val-David, est aussi d’avis que l’« appétit » – stimulé par l’odeur, la texture, la couleur – est une donnée sous-jacente à la fabrication de tout cosmétique.
Les mixtures composées de fruits, légumes, plantes et fleurs comestibles, bourrées de nutriments actifs, n’ont rien de surprenant aux yeux de celle qui offre à domicile, entre autres, des ateliers de cosmétiques dits « de cuisine » et « du potager ». D’ailleurs, la recette de nettoyant visage « du jardin » à base de tomate et d’huile d’olive présentée en une de ce dossier, c’est elle. Elle en propose même une variation, où la tomate est remplacée par trois cuillères à soupe de carottes crues râpées pour obtenir un masque riche en bêta-carotène, excellent pour le teint, à laisser agir pendant une vingtaine de minutes.
Précautions d’usage
Mais les cosmétiques mitonnés maison, à partir d’aliments périssables, comportent-ils des risques ? « Plutôt des limites. Si on veut fabriquer des crèmes, par exemple, on aura besoin d’un émulsifiant pour fusionner les phases aqueuse et graisseuse, comme de la cire végétale ou de la cire abeille, qu’il n’est pas fréquent de trouver dans le garde-manger », admet Marie-Christine Vallières.
Il est donc plus simple de s’en tenir aux exfoliants, gommages, lotions toniques et masques, des formules « à consommation immédiate ». Comme ils ne contiennent pas d’agents de conservation, la durée de vie des cosmétiques maison est courte. Exception faite des préparations à base de vinaigre, qui se gardent quelques mois, il est conseillé de les utiliser dans les heures qui suivent.
« Il faut être prudent, souligne Dominique Laramée. Naturel ne rime pas automatiquement avec hypoallergénique. Dans la mesure où la substance est absorbée par la peau, il faut tenir compte des allergies et intolérances (attention aux huiles de noix, par exemple). Il est même recommandé de pratiquer un test de tolérance cutanée au préalable, en appliquant quelques gouttes au creux du coude. »
Un vaste terrain de jeu
Le « cuisinier » pourra ensuite laisser place à l’improvisation et jouer avec les produits qui lui sont à portée de main. À la condition qu’ils appartiennent à la catégorie des végétaux et des produits de l’abeille, comme le café, le cacao, les eaux de rose ou de fleur d’oranger, le miel, les herbes, le curcuma, les huiles, qui ont d’aussi belles propriétés que les plantes médicinales. Et encore, rappelle Marie-Christine Vallières, à une époque pas si lointaine, le saindoux, obtenu à partir de la graisse de porc fondue, était fort prisé dans la confection des savons, pommades et onguents.
« Les gens aiment avoir des indications claires, poursuit-elle. Ils ont besoin d’être rassurés avec des mesures, des quantités exactes. Dans l’optique où on en fait une utilisation rapide et à des fins personnelles, on peut s’accorder certaines libertés. Je dis souvent à la blague à mes étudiants d’utiliser leur « pifomètre ». De chercher non pas à suivre des règles, mais à obtenir des textures. Je tâche de leur inculquer un esprit libre et aventurier, un peu comme on le fait, justement, en cuisine, lorsqu’on part de zéro ou qu’on modifie une recette, la transforme, l’interprète… »
Même conclusion pour les règles d’hygiène : comme les produits ne sont pas destinés à la vente, elles ne sont ni plus ni moins exigeantes que lorsqu’on fait à manger pour soi.
Prêts en un tournemain, naturels, peu coûteux, l’un des avantages est de connaître et déterminer les ingrédients qui composent les pâtes et mélanges dont on s’enduit. « L’activité participe aussi de la découverte des propriétés d’aliments très communs et de leur étonnante polyvalence qui, elle, est méconnue. C’est la plus belle façon d’apprivoiser cette médecine douce et de s’approprier, progressivement, des produits cosmétiques adaptés à nos » goûts » et besoins. Comme les caractéristiques de notre peau varient au fil des saisons, on a ainsi accès au » sur mesure » toute l’année », complète Dominique Laramée.
L’aspect ludique de l’initiation au cosmétique maison fait aussi partie de l’approche de Marie-Christine Vallières. Elle conseille d’ailleurs de se mettre à deux (ou plus) pour partager le plaisir. Une belle solution de rechange au dimanche après-midi de popote. Après les confitures, les produits de beauté ?
Pour aller plus loin
Sylvie Fortin, Cosmétiques non toxiques, Montréal, Éditions La Presse, 2011, 240 p., 29,95 $.
Bien qu’il ne cible pas précisément la cosmétique « de cuisine », ce livre publié au Québec a été fortement recommandé par nos deux herboristes. Vous y trouverez la description de bon nombre d’ingrédients du garde-manger ainsi que la liste de leurs propriétés.
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On a parlé de Cosmétiques NON Toxiques dans le quoditien Le Soleil du 1er décembre 2011 en tant que cadeau de lecture intéressante à offrir à Noël. L’article a été repris sur Cyberpresse et voici le lien pour y accéder.http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/vivre-ici/mode/201111/30/01-4473291-mode-de-la-lecture-en-cadeau.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_noel_65937_accueil_POS3 Santé Mag de janvier 2012 publiera un article sur Cosmétiques NON Toxiques. À suivre…
On a parlé de Cosmétiques NON Toxiques à l’émission Pour la plaisir du 9 novembre. Louise Latraverse commentait en des termes élogieux le livre. Elle l’apprécie car elle a déjà fabriqué ses cosmétiques et elle comprend à quel point il est simple, rapide et économique des les concocter à la maison.
Décembre 2011 : Entrevue à paraître dans la revue Virage … à suivre.
9 novembre 2011 : Le lancement de Cosmétiques NON Toxiques a eu lieu samedi dernier, le 5 novembre, à la Librairie Gourmande du Marché Jean-Talon. Merci à tous ceux et celles qui sont venus au lancement et à la séance de signature!
Bonsoir Mme Fortin ,Je viens de faire une recette de savon liquide .Après une semaine d’attente , j’ai fait chauffer la glycérine ,l’eau et le carbonate de potassium .J’ai incorporée mon premier mélange à celui-ci et à ma grande surprise le mélange qui a reposé 1 sem. était durcit et non en gel . Ce que j’ai présentement c’est un mélange liquide avec des »mottons » .Dois-je refaire chauffer le mélange tout ensemble ? Cette recette je l’ai pris dans votre document de »L’art de la fabrication du savon ». Merci à l’avance . Nathalie .
Bonjour Nathalie,
C’est très embêtant de vous guider et de savoir où l’erreur s’est produite. Il faut utiliser de l’hydroxyde de potassium pour éviter que le mélange durcisse et qu’il reste en gel. Je pense bien que vous devrez expérimenter!
Bonjour Sylvie,
J’aimerais vous faire un message personnel. Merci de me donner votre courriel.
Claire
Bonjour Claire,
sylviefortin5@gmail.com
Au plaisir de vous lire,
Sylvie.
Bonsoir Sylvie, j’aimerais t’écrire un mot, pourrais-tu me donner le courriel pour te contacter ? merci !. Hélène Brochu : )
L’adresse de courriel vient de partir pour ta boîte.
Au plaisir de se revoir,
Sylvie.